Si j’ai confiance en une personne, je ne
passe pas mon temps à la soupçonner de me tromper, de me mentir! Je suis libéré
de la tentation de contrôler l’autre, le posséder, le dominer. Je peux me
montrer tel que je suis, sans craindre qu’on me juge sans compassion.
Je peux alors aimer et me laisser aimer.
« Une famille où règne fondamentalement une confiance affectueuse, et où on se refait toujours confiance malgré tout, permet le jaillissement de la véritable identité de ses membres et fait que, spontanément, on rejette la tromperie, la fausseté ou le mensonge. » (Pape François)
† Roger Ébacher
Évêque retraité de Gatineau