C’est avec grande émotion que je lis
dans nos Saintes Écritures que toi, le Dieu grand et redoutable, tu te penches
sur le faible et le pauvre. Tu es toujours prêt à accueillir, à pardonner.
Je suis ce misérable. Tu m’as donné la
vie, tout ce que je suis, tout ce que j'ai! Et toujours, je t’abandonne pour
chercher ailleurs plaisirs et consolations!
Je t’ai abandonné si souvent! Mais
toujours, tu continues à m’attendre. Tu veux toujours me pardonner,
m’embrasser.
En vrai père, tu te penches toujours sur
mes malheurs. Tu ne te résignes jamais à me perdre!
Que tu es bon! Merci encore et encore!
Évêque retraité de Gatineau