Les faiblesses et les
erreurs des autres ont tendance à provoquer en moi une violence interne qui me met
sur la défensive, comme si les personnes qui m’irritent étaient des ennemis
gênants qu’il faut éviter. Le pape François note avec sagesse : « Alimenter
cette agressivité intime ne sert à rien. Cela ne fait que nous rendre malades
et finit par nous isoler ».
Au lieu de me livrer à la colère, il vaut mieux penser à mes propres faiblesses et manifester douceur et paix avec les autres.
† Roger Ébacher
Évêque retraité de
Gatineau