Quand j’aime vraiment
une personne, je suis poussé à ne jamais désespérer de son avenir. Même si
divers aspects de cette personne me tapent sur les nerfs, je crois en elle. Je
sais qu’elle peut s’améliorer.
Celui qui aime « espère toujours qu’une maturation est possible, un jaillissement surprenant de la beauté, que les potentialités les plus cachées de son être germent un jour. » (Pape François)
Cela ne signifie pas que tout va changer dans sa vie. Je dois accepter que certaines choses ne se passent pas comme je le désire.
Donc, espérance toujours, avec beaucoup de patience. Car l’amour est d’abord patient!
† Roger Ébacher
Évêque retraite de
Gatineau