-
Climat peu accueillant.
Y a-t-il écoute ? Donne-t-on facilement son temps pour l’autre ? Les
heures de disponibilité sont-elles bien ajustées aux besoins et aux capacités
des personnes en recherche de lumière, de conseil, de paix ?
- Attitude
bureaucratique. Est-ce que tout est réglé selon le Code ? Y a-t-il place
au discernement face à la vie et aux questions de l'autre ?
-
Prédominance de
l’administration sur la pastorale. Serviteurs et servantes des communautés,
sommes-nous en fait des fonctionnaires plus que des bergers ?
-
Sacramentalisation
sans évangélisation. Croyons-nous que l’Évangile est déjà connu et donc qu’il
est inutile de le redire ? Est-ce que la Parole de Dieu a une place
prioritaire dans l’activité pastorale ou missionnaire ? Est-ce que mon
langage est accessible par les gens qui sont devant moi ?
(21e
texte d’une série sur la joie)
† Roger
ÉbacherÉvêque émérite de Gatineau